Comme nous l’avons indiqué dans notre brillant et déjà cultissime article « Communication 2020 – What’s new, pussycat ? », depuis sa reprise d’activité, le Studio LaGuarda France se recentre fortement sur ses valeurs associatives.

Nos objectifs

L’objet principal

L’objet de notre association a pour but de développer la culture photographique et vidéographique populaires.

Généralité et spécificité

A ce titre, nous distinguerons :

les éléments de connaissance et de pratique généraux, communs à l’ensemble des cultures concernées par la photo ou la vidéo (la maîtrise des fonctionnalités d’un appareil photo, par exemple),

les éléments plus spécifiques concernant les cultures dites alternatives (kustom culture, cosplay, fetish, Heroic Fantasy, steampunk, pin-up classique….) qui font partie de notre signature artistique.

Nos valeurs

Considérant que la culture n’est pas un produit commercial, l’association privilégie ses projets propres. A ce titre, nous ne faisons pas d’études de marketing ou de web marketing, d’analyse technico-économique, ou de publicité. A ce titre, nous restons imperméables aux canons de la mode, assortis d’exigences de rentabilité – auxquels même les cultures alternatives n’échappent pas, nous refusons les traitements et rendus photos industriels décidés par les réseaux sociaux ou les fabricants de téléphones.

Money, money

L’association fonctionne exclusivement avec des bénévoles, y compris bien sur pour notre équipe dirigeante.

La gestion de l’association est désintéressée. L’ensemble des recettes est entièrement consacré au fonctionnement de l’association : achat de costumes et d’accessoires, de documents d’étude, frais de représentation dans le cadre de séances photos ou de participation à des festivals ou manifestations, frais de tirage et d’édition de photos, frais bancaires, d’assurance et postaux, frais d’entretien des locaux et matériels… Les éventuelles nouvelles recettes sont converties aussitôt en nouveaux projets, ou en renouvellement/acquisition de matériel photo.

Ce que l’on fait en 2020…

Voici à ce jour, la liste des activités que nous pouvons réaliser en 2020…

• Production de photos, de vidéos et d’articles de blog associés,

• tirages, produits dérivés et expositions photo, calendriers photo,

• formations générales d’apprentissage de la photo ou du modeling, réservées à un public spécifique : personnes à faibles moyens, petites associations, petits clubs photo, adhérents de l’association…,

• formations spécifiques aux cultures photo et vidéo alternatives, ouvertes à tous : particuliers, professionnels du spectacle, photographes ou modèles professionnels, adhérents de l’association…,

• Vente de costumes, décors et accessoires utilisés,

• Mise à disposition d’un plateau photo équipé avec technicien, offre réservée aux partenaires et aux adhérents de l’association.
  

Ce que l’on ne fait pas…

• Photos de mariage, couverture d’évènements familiaux, photos de famille,

• photos d’identité,

• photos de produits, réalisation de catalogues,

• couverture d’évènements professionnels,

• travaux de conception graphique hors du cadre partenarial ou associatif,

• de manière générale, toute prestation rémunérée pouvant être assurée par un organisme professionnel.

Ce que l’on peut faire sous conditions…

L’association ne s’interdit pas d’exercer des activités lucratives dans les cas suivants :

• Nécessité d’équilibrer les comptes,

• Nécessité d’engager des dépenses de fonctionnement ou de développement de l’association (achat de matériels ou de prestations, financement de déplacements, frais de tirages photos ou de réalisation de produits dérivés…), ne pouvant être financées par les activités non lucratives et ne pouvant faire l’objet d’aides des pouvoirs publics.

Les conditions de non concurrence ou de concurrence loyale seront examinées systématiquement lors de la mise en oeuvre de ces activités.

Les trucs vraiment interdits…

Contrairement à ce que beaucoup pensent, hormis le jeu, la drogue et la prostitution, il y a peu d’interdits dans le fonctionnement associatif. Il est possible de  rémunérer ses dirigeants, ses membres, ou de concurrencer  le tissu professionnel, mais cela impose de grosses contraintes administratives et financières…

Il y a cependant un point à ne pas franchir.

Money, money, le retour

Nous n’avons pas le droit de rémunérer des amateurs, de façon directe (cash) ou indirecte (cadeau ayant valeur numéraire, remboursement de frais non engagés ou sur évalués).

En conclusion

Le Studio LaGuarda France repart dans une optique purement associative et artistique. Ne manquez pas notre futur article sur nos univers artistiques, ou peut-être qu’on en fera plusieurs…

Stay tuned…

« Stay tuned » : restez branché, restez à l’écoute…