Sneak a peek – Sharks

Mineurs et personnes que cela pourrait déranger, passez votre chemin, cet article contient de la presque nudité féminine (de la lingerie, quoi).

Sneak a peek, c’est la rubrique qui vous parle de l’actualité du studio et vous présente un extrait d’une séance en cours de traitement, ou de son making of… Une preview, quoi…

Bon, en ce magnifique Mardi de ce mois de Février, nous allons vous donner un petit aperçu d’une séance avec Ginger Marilyn, qui sera bientôt publiée…

Pour cette fois cependant, la photo retenue, baptisée « Sharks » (requins), est basée sur un petit clin d’oeil à la con d’Eric LaGuarda… Explications de l’artiste…

Euh, mais elle est pas finie, cette photo ?

Eh oui, ce cliché est volontairement imparfait : le cadrage déborde du fond en toile pour révéler une partie du studio.

Deuxième imperfection : l’ombre en forme de bite pénis sur le pubis de la modèle (il s’agit de l’ombre de l’aile du requin, si vous aviez un doute).

Mais « requin de studio », quoi…

L’expression « requin de studio » (« studio shark » en anglais) désigne les musiciens professionnels mis à disposition par la maison de disque ou le studio, pour accompagner l’artiste qui enregistre chez eux.

Pour poursuivre dans cette idée, les requins de studio sont des musiciens monstrueux, parmi lesquels on peut citer Jimmy Page, Duane Allman, Ry Cooder…

Et c’est pour ça que…

Oui, c’est pour ça que « Sharks » est au pluriel.

Le premier requin est, bien sur, le plus visible.

Le second n’est autre que Ginger Marilyn, requin de studio mis à disposition des photographes utilisant le studio. La référence à ce dernier est renforcée par le fait qu’on l’aperçoive sur les côtés.

Quant à l’ombre en forme de bite pénis, ben, Eric LaGuarda trouve que ça renforce encore le côté « je suis le boss » recherché dans cette photo. Bien sur, si vous êtes en mode « shooting mode/beauté over ze top », ça ne passera pas à vos yeux… mais bon, secret de vieux photographe : vous y survivrez…